Le chapitre sur la mobilité de la main-d’œuvre de l’ALEC ne fait aucune distinction entre les travailleuses et travailleurs accrédités conformément à des normes actuelles ou antérieures d’une province ou d’un territoire.

Comme les dispositions sur la mobilité de la main-d’œuvre de l’ALEC sont fondées sur le principe de la reconnaissance « permis sur permis », les travailleuses et travailleurs profitant d’un droit acquis doivent se voir accorder une autorisation d’exercer par la province ou le territoire d’accueil, à moins qu’une exception à la mobilité de la main-d’œuvre n’ait été publiée. Le cas échéant, une exception à la mobilité de la main-d’œuvre pourrait donner lieu à une contestation. Toute intention de maintenir les droits acquis des travailleuses et travailleurs doit être mentionnée dans un avis concernant la proposition d’une norme professionnelle nouvelle ou modifiée.